Mon maître n’a pas de queue (My Master Has No Tail ) est une comédie animée qui fera ses débuts à l’automne 2022.
Elle raconte l’histoire de Mameda, une fille Tanuki rusée, et sa quête pour devenir une comédienne et une farceuse à succès dans l’Osaka de l’ère Taisho-. Cependant, ce ne sera pas facile.
Mameda n’est pas habituée à la vie urbaine ou à la technologie moderne, elle doit donc s’adapter rapidement et apprendre les méthodes du rakugo pour séduire les masses.
Pour l’instant, Mameda a du pain sur la planche. Dans l’épisode 2, elle n’a même pas encore commencé à s’entraîner au rakugo, et encore moins à monter un spectacle dans un théâtre.
Elle a un long chemin à parcourir, notamment pour atteindre son premier objectif qui est de convaincre Bunko de la former comme apprentie.
Mameda fera cependant de son mieux, et elle et Bunko ont plus d’atomes crochus qu’aucun d’entre eux ne le pense.
Dans l’épisode 2 de Mon maître n’a pas de queue, Mameda, la protagoniste des Tanuki, reprend là où elle s’était arrêtée dans l’épisode 1, tâtonnant dans l’étrange ville moderne d’Osaka tout en essayant de convaincre Bunko, l’expert en rakugo, de la former.
Mameda retourne brièvement chez elle pour pratiquer sa technique, où les Tanuki se contentent de la taquiner pour son manque de rigueur.
Cependant, malgré sa gaffe et ses compétences douteuses, Mameda est une protagoniste qui a du cran et de forts désirs, ce qui renforce son attrait en tant que personnage principal.
Elle a déjà fait une mauvaise impression à Bunko, un homme coincé, et Bunko pense que Mameda n’a pas vraiment sa place à Osaka.
Néanmoins, Bunko ne déteste pas Mameda ; elle craint simplement que Mameda ne s’écrase et ne brûle dans cette ville moderne au rythme effréné où les esprits comme les Tanuki ne sont plus les bienvenus.
C’est de l’amour vache de la part de Bunko, mais Mameda a d’autres idées.
Dans l’épisode 2, Mameda rassemble son courage et retourne à Osaka, où elle assiste à nouveau à une représentation en direct de Bunko dans un théâtre, et Mameda agit encore plus audacieusement cette fois.
Le choc de la vie urbaine d’Osaka s’est déjà dissipé et Mameda a maintenant un objectif précis en tête.
Elle rend donc visite avec confiance à Bunko chez elle pour faire sa demande. Bunko rejette fermement Mameda de manière comique, et Bunko part peu après.
Découragée mais pas encore terminée, Mameda erre dans la maison de Bunko et prétend être elle-même un rakugo avant de trouver l’éventail en papier de Bunko et de se résoudre à le livrer à Bunko ailleurs dans la ville.
Mameda doit même combattre un chat agressif pour l’éventail, mais à la fin, elle le livre à Bunko, qui commence vraiment à montrer son côté tsundere.
Elle trouve la persistance de Mameda fatigante, mais aussi vaguement admirable.

Mameda implore une fois de plus Bunko de la prendre comme apprentie, mais Bunko lui montre une autre forme d’amour dur.
Bunko pense toujours que Mameda n’est pas prête pour ce défi, mais elle est intriguée par la détermination de Mameda et, en tant que tsundere, elle repousse verbalement Mameda tout en la soutenant secrètement.
Cette fois, Bunko encourage Mameda à être maligne et à lui voler sa technique, déclarant qu’une artiste novice comme Mameda devrait montrer sa véritable détermination avant de demander la pitié.
Bunko permet également à Mameda de passer la nuit sur sa propriété plutôt que de la renvoyer chez elle.
Tout ceci n’est qu’un petit pas en avant, mais c’est toujours bien mieux que ce que Mameda a vécu dans le premier épisode.
Cette fois, Mameda a vraiment le pied dans la porte, même si ce n’est qu’à peine, et c’est prometteur.
Non seulement cela souligne l’impressionnante ténacité et la passion de Mameda en tant que protagoniste, mais cela permet également d’établir la véritable dynamique entre elle et Bunko.
Elles ont toutes deux une forte volonté et sont intelligentes, mais Bunko est une tsundere sévère tandis que Mameda est une farceuse joyeuse qui porte ses émotions sur sa manche.
Ces deux-là jouent bien l’un avec l’autre, Bunko étant comme une grande sœur stricte ou même une mère pour Mameda, et c’est amusant à regarder.
Ces deux-là se ressemblent plus que ne le suggèrent leurs plaisanteries et leurs personnalités opposées, et c’est cela, en plus des joies du rakugo, qui devrait inciter les fans d’anime à en redemander cet automne.